Il est ainsi fait, l’homme, qu’il ne rêve que de grands espaces, d’une liberté sans limite, de voyages infinis, d’un grand lit pour lui tout seul… Mais quand il se réveille ou qu’il s’endort tout seul au milieu de son grand lit, ou de son petit espace de liberté, il ne voudrait qu’une chose, le garnir d’une femme – voire plusieurs -, amoureuse(s) comme au premier jour.
Oui, il est comme ça l’homme. Et il continue de vouloir y croire, malgré ce refrain qui lui revient sans cesse : liberté chérie, liberté mon cul !